Sans justice, la paix reste un rêve incertain,
Un mirage effacé sous le poids du destin.
Les traités s’écrivent, mais l’âme se déchire,
Quand le cri des martyrs s’efface dans le pire.
Congo se lève, mais le sol est encore rouge,
Des pleurs dans la poussière, et le monde bouge.
Les accords brillent, mais la mémoire s’éteint,
Si l’on oublie ceux qu’on a laissés en chemin.
Une paix sans pardon n’est qu’un voile posé,
Sur les cendres fumantes d’un passé brisé.
Car tant que l’injustice survit dans les cœurs,
La paix ne guérit pas, elle camoufle les peurs.
Alors que la justice éclaire le chemin,
Et rende aux oubliés leur nom, leur lendemain.
Car sans elle, dit Chub, le Congo saignera,
Et sous son silence, l’Histoire pleurera.
La rédaction