Le gouvernement français a condamné, lundi 28 juillet, l’attaque survenue dans la nuit du 26 au 27 juillet à Komanda, dans le territoire d’Irumu, en province de l’Ituri, située dans le nord-est de la République démocratique du Congo. Cette attaque attribuée aux rebelles ADF, affiliés à l’État islamique, a fait au moins 43 morts et plusieurs blessés, selon les autorités locales.
Dans un communiqué, le ministère français de l’Europe et des affaires étrangères a exprimé « sa solidarité » avec les autorités congolaises et les familles des victimes. Il a également réaffirmé l’engagement de la France aux côtés de la RDC dans la lutte contre le terrorisme et en faveur de la protection des civils.
Les faits se sont produits dans une église où des fidèles participaient à une veillée de prière. Cette attaque s’inscrit dans un contexte de violences persistantes dans l’est du pays, malgré les opérations conjointes en cours entre les Forces armées congolaises (FARDC) et l’armée ougandaise (UPDF).
Plusieurs réactions ont été enregistrées sur le plan international et national, notamment du côté de l’opposition, qui a appelé à des mesures renforcées pour assurer la sécurité des populations civiles dans les zones affectées.
Justin Mupanya, depuis Beni
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